Bye bye Vermont
Depuis la chute malencontreuse de mon pauvre ordi, j'ai encore moins rempli cet espace que d'habitude. C'est dire.
Il est minuit et demie, et ce sont mes derniers moments middleburiens et vermontois. C'est d'un oeil rosi par la conjonctivite, dans une chambre sonore et vide que je vous livre ces derniers instants.
A 7h40 le train Amtrak m'emportera vers la grand ville, NY pour une halte de 2 jours, halte au cours de laquelle je ferai probablement l'emplette d'un nouvel appareil portant sur son flanc ce sigle singulier, que se partagent la grand ville (voir ci-dessus), la mythologie grecque, le christianisme et accessoirement une marque d'informatique que je ne citerai pas.
Par la suite, mercredi, je laisserai cette fois un avion me transbahuter jusque dans cette autre grand ville, ville mythique de la Lousiane, dont vous devinerez facilement le nom, par le truchement de cette habile description : c'est nouveau, ce qui me laisse l'espoir qu'on y sera plus tendre avec les Jeanne que dans l'ancienne.
Ensuite, jeameriquerai grave.
Le bonjour aux uns et aux autres (ya pas de raison).
Ceci est un message absolument sans accents. Attention, l'abus d'accents peut gravement nuire aux claviers querty.